Position missionnaire........

Publié le par Eva_bien

Qui a dit?

«Il y a quelque chose de très beau à voir les pauvres accepter leur sort, le subir comme la passion du Christ. Le monde gagne beaucoup à leur souffrance.»



Publié dans Délation...........

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
D
Quand je lis ceci, je me dis que définitivement la religion et moi ne font pas bon ménage.Merci pour l'info.
Répondre
P
Purée c'est fou tout ce qu'on sait pas: Merci pour le lien.
Répondre
E
Gagné.......C'est bien d'elle!!!!! "S'il est évident que Mère Térésa a du temps à consacrer aux riches et aux puissants, qu'en est-il de son souci proclamé pour les pauvres et pour les faibles ? Le bilan n'est pas aussi clair qu'on l'imagine. Des médecins britanniques et américains ont, par exemple, relevé le niveau très aléatoire des pratiques médicales dans les petites cliniques de Calcutta de Mère Térésa : pas d'antalgiques, des seringues lavées à l'eau froide, un régime alimentaire redoutable pour les patients et une attitude très fataliste à l'égard de la mort. Cela ne s'explique pas par le manque d’argent. Les comptes de son ordre religieux (catholique), les Missionnaires de la charité, ne sont pas publics, mais chacun sait que d'énormes sommes ont été recueillies, qui suffiraient largement à assurer le fonctionnement d'une clinique convenable de Calcutta. En revanche, Mère Térésa a évoqué sa fierté d'avoir ouvert 500 couvents dans 101 pays, "sans compter l’Inde”. L'argent offert par les donateurs pour soulager la souffrance des pauvres aurait-il été utilisé par la "multinationale missionnaire" pour faire du prosélytisme religieux ?"lire l'article ici :http://prolib.net/enfer/210.006.mere_theresa.htm
Répondre
C
je ne sais pas qui a dit cette horreur, mais je lance une hypothèse: mère Térésa.<br /> l'icône de la charité chrétienne occidentale, une vieille albanaise complétement  zinzin, spécialisée dans le passage dans l'au delà des plus pauvres d'entre les pauvres indiens, leur refusait les analgésiques ou tout autre produits destinés à amoindrir la souffarnce, car celle-ci diasit-elle, les rapprochaient de dieu.<br /> par de n'importe quel dieu, le sien<br /> Il ne s'agit pas d'une divagation de ma part, mais de faits attestés et dénoncés par les intellectuels indiens, humanistes (par ex Shashi Taroor) qui en ont ras le bol d'une certaine vision misérabiliste post colonialiste de l'Inde
Répondre