Je crois qu'il faut que je me soigne ...
Encore une fois, ce soir, cette irrépréssible envie de foutre mes deux rangers dans la tronche à Pascal Bruckner ... ça s'aggrave, de passage télé en passage télé, ce soir c'était sur France 3, avec l'opportune Marie Druker se pointant au moment opportun pour occulter la réponse de Miguel Benasayag aux zélotes du "projet messianique américain" ... il a l'habitude Benasayag, d'être rendu inaudible par des femmes ....oh, il est pas le seul, Bruckner, y a aussi July, Kouchner, Glucksmann, Goupil, Adler et quelques autres ... je sais que ça se fait pas, que c'est pas bien, que ça me vaudrait une pétition des philosophes pour la défense de la liberté d'expression des cloportes , la réprobation des groupies du (p)(s), une pétition réclamant le rétablissement de la peine de mort signée par l'intégralité des rédacteurs de "voice of américa" , une fatwah lancée par redeker, et une de ces chiées condamnation pénale démontrant qu'un ordre juste plane sur ce beau pays ... mais j'avoue que ça soulagerait ... Chuis sanguin, que voulez vous ... je deviens rouge de colère, j'éructe des ignominies, je me mettrais presque à baver, on est obligé de me retenir de foutre la machine à décérébrer par la fenètre ... En fait je dois trainer une sorte de phobie ... pas ma faute si j'aime pas les cloportes ...
Alors, pour se laver de l'ignoble ... des mots qui sont à cent lieues du discours de déculpabilisation des ordures ...
"La vie est si fréquemment infligée, très rarement donnée. Je n’ai jamais entendu un mot plus fort, plus dense que celui-ci qui exprime le génie philosophique de la radicalité présent chez tout homme, chez toute femme : « Ce qu’on me fait faire, ce n’est pas une vie ». Une parole si chargée de sens d’humanité bafouée prouve avec quel esprit lucide son auteur innombrable a le pressentiment qu’existe la manière, l’art, la science de vivre, du savoir vivre dont il pourra enfin dire : « Cà c’est une vie » et pas seulement une vie, mais c’est ma vie, c’est la vie sans plus rien de mortel parce que toute d’amour fraternel et d’amour fraternel mutuel universel. (...)
Par rapport au jeune 68 , 2006, que le monde est vieux avec sa vieille Europe qui trahit dans les faits les valeurs qu’elle récite par habitude ! Nous ne sommes pas sortis de la pré-histoire. Quand allons-nous inaugurer, commencer l’histoire ? Nous voici toujours à l’âge de la terre informe et vide, aux mains du pouvoir et de l’invisible main du marché mondial.
Il est temps de rompre avec notre formatage d’êtres pré-fabriqués, pour entrer en Création. Contre la morne succession des siècles du capital accumulé, vive l’An I de l’Humanité ! "
( Jean cardonnel 1968-2006 )
Alors, pour se laver de l'ignoble ... des mots qui sont à cent lieues du discours de déculpabilisation des ordures ...
"La vie est si fréquemment infligée, très rarement donnée. Je n’ai jamais entendu un mot plus fort, plus dense que celui-ci qui exprime le génie philosophique de la radicalité présent chez tout homme, chez toute femme : « Ce qu’on me fait faire, ce n’est pas une vie ». Une parole si chargée de sens d’humanité bafouée prouve avec quel esprit lucide son auteur innombrable a le pressentiment qu’existe la manière, l’art, la science de vivre, du savoir vivre dont il pourra enfin dire : « Cà c’est une vie » et pas seulement une vie, mais c’est ma vie, c’est la vie sans plus rien de mortel parce que toute d’amour fraternel et d’amour fraternel mutuel universel. (...)
Par rapport au jeune 68 , 2006, que le monde est vieux avec sa vieille Europe qui trahit dans les faits les valeurs qu’elle récite par habitude ! Nous ne sommes pas sortis de la pré-histoire. Quand allons-nous inaugurer, commencer l’histoire ? Nous voici toujours à l’âge de la terre informe et vide, aux mains du pouvoir et de l’invisible main du marché mondial.
Il est temps de rompre avec notre formatage d’êtres pré-fabriqués, pour entrer en Création. Contre la morne succession des siècles du capital accumulé, vive l’An I de l’Humanité ! "
( Jean cardonnel 1968-2006 )
Remarque, sur lui aussi, j'essuirais bien mes rangers ...