Passer sous les fourches caudines ...
Hier, sur l'un des blogs ou je traine, et ou s'exprime le désarroi des 2 ou 3 socialistes restants au P(s) ... un commentateur faisait remarquer que , sur le site web du P(s), quand on clique sur le bandeau "2007 participez à la campagne" , on atterrit direct sur le site des groupies de Notre dame du marais, "cauchemard de futur" ... et le pire, c'est que ça semble normal ...
"passer sous les fourches caudines" ... chais pas pourquoi, mais l'expression m'est venue ce matin, en lisant les déclarations de l'exilé de haute corrèze, qui n'ira pas habiter l'élysée au cas où ... Bon, y en a quelques uns qui se sont déjà précipité, genre "c'est juste un mauvais moment à passer pour que rien ne change ... pasque l'ennemi va avoir besoin de pro-consuls à sa botte ... "
"passer sous les fourches caudines" ... chais pas pourquoi, mais l'expression m'est venue ce matin, en lisant les déclarations de l'exilé de haute corrèze, qui n'ira pas habiter l'élysée au cas où ... Bon, y en a quelques uns qui se sont déjà précipité, genre "c'est juste un mauvais moment à passer pour que rien ne change ... pasque l'ennemi va avoir besoin de pro-consuls à sa botte ... "
Passer sous les fourches caudines ... : "subir une défaite" et par conséquent "faire des concessions humiliantes"...
"Rome n'en reçut pas moins de cette nation un affront célèbre et fameux aux Fourches Caudines, sous les consuls Véturius et Postumius. Enfermée par surprise dans ce défilé, notre armée ne pouvait en sortir; le général ennemi, Pontius, tout étonné d'une occasion si belle, consulta son père Hérennius, qui lui conseilla sagement "de laisser aller ou de tuer tous les Romains." Pontius aima mieux les désarmer et les faire passer sous le joug; ce n'était pas seulement dédaigner leur amitié en retour d'un bienfait, c'était rendre, par un affront, leur inimitié plus terrible."
Florus, "Abrégé de l'histoire romaine", livre I, préambule, (traduction de 1865)
Quel est le con qui a dit "l'histoire ne se répète pas, elle bégaye" ???
"Rome n'en reçut pas moins de cette nation un affront célèbre et fameux aux Fourches Caudines, sous les consuls Véturius et Postumius. Enfermée par surprise dans ce défilé, notre armée ne pouvait en sortir; le général ennemi, Pontius, tout étonné d'une occasion si belle, consulta son père Hérennius, qui lui conseilla sagement "de laisser aller ou de tuer tous les Romains." Pontius aima mieux les désarmer et les faire passer sous le joug; ce n'était pas seulement dédaigner leur amitié en retour d'un bienfait, c'était rendre, par un affront, leur inimitié plus terrible."
Florus, "Abrégé de l'histoire romaine", livre I, préambule, (traduction de 1865)
Quel est le con qui a dit "l'histoire ne se répète pas, elle bégaye" ???
et pour les gogols, ségoléne dominatrice soumet DSK et Laurent Fabius ...